Maux de dos : environ 70 à 80 % de la population dans les pays industrialisés souffrent de maux de dos.
Les causes peuvent être très différentes et doivent être définies par le médecin. Chez 85 % des personnes concernées, la cause reste inconnue. On pense surtout à un déséquilibre musculaire (troubles de l’appareil musculaire). Elles sont causées par un mauvais alignement, une mauvaise posture, port de charges du même côté et port de charges trop lourdes, réduction de l’irrigation sanguine causée par le froid ou courant d’air et le stress.
Les restrictions de mobilités très douloureuses, peuvent durer longtemps et s’aggraver, un cercle vicieux s’installe. Les traitements de douleurs doivent être prioritaires lors d’une crise aigüe. Plus tard, il faudra se tourner vers des séances de kinésithérapies spécifiques, et adapter ses mouvements et de nouvelles postures pour soulager le dos afin d’éviter des douleurs chroniques.
Même si les douleurs de dos sont perçues comme un problème local, on constate qu’une prise en compte globale à plus de succès. Avec l’aide de la technologie infrarouge basse température, on peut facilement combiner les effets d’une application de chaleur locale et systémique. Une application de chaleur locale soutient la détente musculaire et soulage les maux de dos. La chaleur profonde stimule la détente, l’irrigation sanguine et l’alimentation des tissus, ainsi que les muscles, les tendons et les ligaments. Utilisée correctement, elle peut favoriser la détente mentale et renforcer les séances de kinésithérapie.
Dans une phase aigüe, lors d’un déséquilibre musculaire, le programme présélectionné « dos et rhumatisme » en complément d’autres traitements, peut être utilisé 3 fois par jour. Pour savoir si d’autres applications de chaleur profondes sont utiles lors d’une crise aigüe, il faut consulter son médecin traitant. Avant une séance de kinésithérapie, un réchauffement passif s’avère approprié pour renforcer le résultat des massages. Après la phase aigüe, l’application doit être considérée comme la première partie d’un concept de traitement global qui, à long terme, peut être utilisé 2 à 3 fois par semaine.